Le moniteur défibrillateur est généralement composé de nombreux éléments comme un écran à cristaux liquides, qui fournit des messages écrits et un haut-parleur, qui offre des messages sonores. En somme, ces messages procurent des signaux sur la marche à suivre comme une pile de charge, deux à trois boutons bien identifiés, deux électrodes de défibrillation autoadhésives et renfermées dans un emballage étanche. Vous pouvez trouver une paire de ciseaux qui permet de sectionner les habillements et déshabiller la poitrine de la victime rapidement.
Comment fonctionne un défibrillateur moniteur ?
Un moniteur défibrillateur est un appareil portatif qui fonctionne à l’aide d’une batterie et deux électrodes dont la fonction est d’analyser le mouvement électrique du cœur d’une personne en relâche cardiorespiratoire. Cette analyse est entièrement automatique et l’avantage pour l’opérateur, c'est qu’il ne risque pas de prendre une mauvaise décision. Pour son emploi, seuls des chocs extrêmes sont possibles, c'est-à-dire, les électrodes sont installées sur la peau de la victime.
Si l’instrument aperçoit une fibrillation ventriculaire ou une tachycardie ventriculaire, la machine permet de proposer ou de donner un choc électrique pour générer une défibrillation et un retour à une activité électrique régulière du cœur. C’est pour cela que le moniteur défibrillateur semi automatique grand public procède à un examen cardiaque automatique préalable.
Quels sont les types de défibrillateurs et comment effectuer le choc électrique ?
Pour une utilisation par le grand public, il existe deux grands types de moniteur défibrillateur. Le défibrillateur totalement automatique qui donne le choc de lui-même après avoir informé l’intervenant. Vous pouvez voir aussi qu’il y a le moniteur défibrillateur semi-automatique qui donne le choc électrique par pression sur un bouton. Toutefois, d’autres caractéristiques sont essentielles telles que le soutien au massage cardiaque et la sensibilité du haut-parleur.
Pour produire un choc électrique, vous devez écouter et respecter les recommandations de la machine. Après, vous devez écarter les personnes au tour et avant de faire un choc électrique à l’aide d’un moniteur défibrillateur semi-automatique, personne ne devra plus toucher la victime, car si un individu touche la victime à ce moment-là, il risque de recevoir une décharge électrique et rendre le choc impuissant pour la victime qui n’obtiendra pas la totalité de son intensité.
Comment analyser l’état du cœur ?
Si le moniteur défibrillateur est complètement automatique, une voix synthétique annonce cette étape après que les deux électrodes soient jointes à la victime. Mais pour le moniteur défibrillateur semi automatique, la recommandation d’entamer l’examen en pressant un bouton vous sera fourni. À noter que vous ne devrez pas toucher la victime lors de l’analyse et d’écarter toutes les personnes au tour. Un choc électrique est nécessaire pour l’analyse réalisée par le défibrillateur qui permet de reconnaître le rythme cardiaque. Si tel est le cas, le défibrillateur se charge obligatoirement et un son se fait entendre. Par conséquent, tout mouvement de la victime durant ce temps peut parasiter l’analyse. L’examen a pour but de découvrir une fibrillation ventriculaire, c'est-à-dire un trouble du rythme cardiaque provoqué par des concentrations anarchiques du cœur. Effectivement, si le trouble n’est pas constaté par le défibrillateur, vous devrez poursuivre le massage cardiaque jusqu’à ce que la machine refasse une nouvelle analyse.
Le moniteur défibrillateur est un appareil qui est nécessaire pour la réanimation d’une personne qui a un arrêt cardiaque. Cette machine est composée de plusieurs éléments qui sont tous indispensables pour la réanimation de la victime. Il existe deux types de moniteur défibrillateur, le défibrillateur totalement automatique et le défibrillateur semi-automatique qui sont tous deux nécessaire pour la réanimation. Mais quand le processus de réanimation est en cours, plus personne ne doit toucher la victime, car cela risque de perturber l’analyse.